The French artist, Jean-Michel FICHOT was born in 1959.  He is a sculptor and a professor in Applied Arts, former student of the Duperré School of Applied Arts and of the School of Fine Arts in Paris.  His work has been exhibited since 1985.

• 1985 :      First one-man exhibition in Paris.
• 1986 :      Awarded the Jean Arp contemporary Art Prize by Marguerite Arp and
  Philippe Piguet, Marcel Jean, Dominique Abensour. Entered the International Symposium of Sculpture in
  Sylt, Germany, where he met Nils Udo.
• 1989 :      Awarded the Florence Blumenthal prize by a jury that included Jean Bazaine and Yvon Lambert.
• 1990 :      Organized a personal exhibition at the Art and History Museum of Saint Denis, France.
• 1991 :      Held a one-man exhibition at the Art and History Museum in Colombes, France.
  Participated in public collections e.g. the Art and History Museum of Colombes, France, as well as in private collections and foundations.
  Regular exhibitions in galleries, in International Contemporary Art Fairs and museums in France and abroad (Germany, Belgium, Switzerland, The United-States of America and Japan).
• 2012:     Awarded the Charles Malfray prize, Foundation Taylor, Paris.
• 2022      Organized a personal exhibition, Foundation Arp Clamart
• 2023:     Organized a personal exhibition, Foundation de Coubertin Museum of Saint-Rémy Lès Chevreuse, France.⁴
•   Appointed Knight of the Order of Arts and Letters by Madam Minister of Culture Rima Abdul Malak in 2023.

As an artist, Jean-Michel FICHOT has created his own language using distortion and repetition of forms in search of new spatial situations, and he finds his inspiration in direct contact with matter and volume.  Marie-Claude Lambotte refered to a «philosophy of form» in the article she devoted to him in 1988 in the publication Frénésie¹. One could also willingly refer to poetics of sculpture which cannot be limited to a unique view whether it is critical, literary, philosophical, psychoanalytic or sociological.

Figurative forms are treated as abstractions insofar as that they do not aim to represent a story in a colourful or in a trivial way. There is a real concern to find a rhythm, a movement, a phrasing, a tenseness and a matter.  Distortion, a sort of metaphorical condensation, combines with repetition, a sort of metonymical displacement of desire, each sculpture emerges at the intersection of two diachronic and chronological axes.  There is a dual-reference system, a reference to history and to a collective memory on one hand, as well as a self-reference by means of repetition and use of similar modules from one sculpture to the next and there lies the source of his own personal identity.

Frenzy1:  HYSTERY. History of psychoanalyzed psychiatry No. 4 interview by Philippe Sollers with Cécile
Collée, 1987.
CHILDREN'S CRAZIES. History of psychoanalyzed psychiatry No. 6 “A practice of the philosophy 
of form” interview with Marie-Claude Lambotte, 1988.
Cadmus2:
Cultural and scientific review
N°2 – THE UNIVERSAL, THE SINGULAR – “Deformations” by Jean-Michel Fichot.
Text by Gilbert Lascault3:
“archive of art criticism” in the Jean-Michel Fichot catalog, Paris, Furstenberg gallery 1991.
 
Catalog of the Fichot exhibition “Words and Regards of the Artist” 4 2023, 168 pages.
edition of the Coubertin Foundation Museum.
Texts by: Soline Dusausoy curator of the Coubertin Foundation Museum, Marie-Claude Lambotte 
Professor at the University of Paris XIII and program director at the International College of
Philosophy. Nathalie Pineau-Farge art historian, Chritophe Béry director of the 
Coubertin foundry and Laure Kaltenbach exhibition curator curator of La MOB at the
Dora Maar house in Ménerbes.

Artiste français né en 1959, sculpteur et professeur certifié en sciences et technologies du design, arts appliqués et métiers d’art. Diplômé de l’école des Arts appliqués Duperré et de l’école des Beaux-arts de Paris, expose depuis 1985.
  Nommé chevalier dans l’ordre des Arts et des Lettres par Madame la ministre de la Culture Rima Abdul Malak en 2023.

1985 : réalise sa première exposition personnelle à Paris.
1986 : reçoit le prix d’Art contemporain Jean Arp décerné par Marguerite Arp et
Philippe Piguet. Participe la même année au Symposium international de sculpture
à Sylt ( Allemagne), rencontre Nils Udo.
1989 : reçoit le prix Florence Blumenthal après avoir été sélectionné par un jury composé de Jean Bazaine et d’Yvon Lambert.
1990 réalise une exposition personnelle au Musée d’Art et d’histoire de Saint-Denis.
1991 : réalise une exposition personnelle au Musée d’Art et d’histoire de Colombes. Est présent dans les collections publiques comme au Musée d’Art et d’histoire de Colombes et dans des collections et fondations privées. Expose régulièrement en France et à l’étranger (Allemagne, Belgique, Suisse, Etats-Unis, Japon ) dans des galeries, des Foires Internationales d’Art Contemporain et des musées.
2012: reçoit le prix Charles Malfray de la Fondation Taylor à Paris.
2019 Exposition « Roaming » Espace Niemeyer Paris
Commissariat: Jennifer flay, présidente de la FIAC. La jeune création profite d’être dans ce lieu mythique pour inviter des artistes issus de la jeune peinture: Jean- Michel Fichot, Gérard Fromanger Paul Rebeyrolle, Hourmat, Deville et le collectif UNTEL. Journées du Patrimoine.
2021 Exposition « de fer et d’acier » au Musée de la Fondation de Coubertin. Avec la participation du Centre Pompidou, Musée d’art Moderne de la ville de Paris, centre national des arts plastiques, ministère de la culture.
2022 Exposition d’un ensemble de sculptures et de gravures à la Fondation Jean Arp de Clamart.
2023 Exposition personnelle au Musée de la Fondation de Coubertin, soutenue par le ministère de la Culture et la région Île-de-France.

Comme tout artiste, il a crée son langage, utilisant la déformation et la répétition des formes en quête de nouvelles situations dans l’espace et c’est au contact direct de la matière et des volumes qu’il trouve. Dans l’article qu’elle lui a consacré en 1988 pour la revue Frénésie, Marie-Claude Lambotte parle de « philosophie de la forme », on parlerait aussi volontiers de poétique de la sculpture qui ne peut se réduire à un seul discours qu’il soit critique, littéraire, philosophique, psychanalytique ou sociologique. Les formes figuratives sont traitées comme des abstractions dans la mesure où elles ne visent pas à figurer de façon imagée, anecdotique, une histoire. Il y a le souci de trouver un rythme, un mouvement, un phrasé, une mise en tension, une matière. La déformation, sorte de condensation métaphorique se conjugue avec la répétition, sorte de déplacement métonymique du désir, chaque sculpture se situant dans le temps au croisement des deux axes diachronique et chronologique. Il y a un système de double référence, référence à l’histoire et à la mémoire collective d’une part et auto référence par le biais de la répétition et de l’utilisation de modules analogues d’une sculpture à l’autre, c’est en cela qu’il trouve son identité propre.